Je suis très heureux de vous présenter mon premier livre. Vous pouvez le retrouver ici en précommande. N’hésitez pas à mettre une grande pièce. Il n’est pas évident pour les jeunes auteurs de faire leur trou. Je vous remercie d’avance.
« Un artiste ne peut pas se contenter d’une vie épuisée, ni d’une vie personnelle. On n’écrit pas avec son moi, sa mémoire et ses maladies. Dans l’acte d’écrire, il y a la tentative de faire de la vie quelque chose de plus que personnel, de libérer la vie de ce qui l’emprisonne. Il y a un lien profond entre les signes, l’événement, la vie, le vitalisme. C’est la puissance de la vie non organique, celle qu’il peut y avoir dans une ligne de dessin, d’écriture ou de musique. Ce sont les organismes qui meurent, pas la vie. Il n’y a pas d’œuvre qui n’indique une issue à la vie, qui ne trace un chemin entre les pavés. Tout ce que j’ai écrit était vitaliste, du moins je l’espère… »(Gilles Deleuze).
Le Grand Nihilisme, opuscule affuté, bref (une quarantaine de pages) dans la longueur mais dense et lointain dans la vision s’empare de l’esprit de notre Temps pour en faire un nectar à haute valeur psychique. J’ai rallumé ce que cette Civilisation avait éteint : la Force Vitale, la Foi, la Puissance, tout ce qu’elle a liquidé de Noble pour remettre l’Humain au centre. En ce sens, il y a plusieurs étapes à ressentir pour arriver à devenir soi, ce cheminement passe de l’effroi à la joie la plus pure, la compréhension de soi et du système dans lequel nous sommes.
Dans ce livre se trouve une synthèse de ce que j’ai compris et ressenti de cette époque. Cet ouvrage se veut être comme une mesure sismographique de la Postmodernité. Il oscille entre poésie, littérature, et philosophie. Dans le ton, et la vision, je pourrais dire qu’il est la prolongation de la société du spectacle de Debord, et de l’esprit révolutionnaire de Nietzsche.
J’espère que mon ouvrage aidera le lecteur à dépasser le Nihilisme de ce Temps.
Je vous remercie pour vos partages et votre soutien.